Le viol a toujours existé, avec son cortège de honte, de culpabilité, associé au déni et au silence. Mais de plus en plus de femmes osent en parler et dénoncent ce que l'on appelle la culture du viol. Ces violences faites aux femmes sont un fléau qui touche toutes les couches sociales et tous les pays.

Shakespeare, s'inspirant de Tite-Live et d'Ovide, fait de Lucrèce une des plus belles héroïnes de tragédie. Il ne cache pas son empathie pour cette femme qui présente un tableau de la soumission imposée aux femmes par un patriarcat dominant.

Adaptation, traduction, mise en scène et lumières : Jean-Luc Mingot