- ce mot que personne ne comprend : " quoi, génocide ? " - en cours et la violence faite aux femmes depuis des siècles et de plus en plus aujourd'hui.
Violence des "temps de guerre" en RDC, violence culturelle et scientifique en Chine, en Inde, aux Emirats et jusqu'aux portes de chez nous.
Si peu en parlent, si peu l'entendent !
"Gynocyde : in tempore belli" :

Un oratorio profane : pas de réponse, pas de leçons, la force des faits.

Un témoignage humain, pour qu'aucun de nous ne puisse dire : nous ne savions pas ", comme disait déjà Harold Pinter dans les années 80, à propos de " Un pour la route " qui dénonçait la torture.
J'ai décidé de m'inspirer largement d'une scène extraite de cette pièce, la plaçant au coeur de " gynocide ", comme une citation, comme un hommage.

Gynocide : Un cri d'amour et d'espoir aussi ... pour finir, puisque "Au plus fort de l'orage, il y a toujours un oiseau pour nous rassurer. C'est l'oiseau inconnu. Il chante avant de s'envoler." (René Char : Les Matinaux, 1950).