Le dernier repas du monde

Les filles du maire, Sheila et Sarah, deux tendres réatures, sont également présentes ainsi que Bazar, le Domestique.

Il s'agit, pour le maire et ses filles, de préparer Ménir à sauver le monde, ce dernier s'étant retiré, depuis deux ans, du monde public et de ses fonctions de sauveur systématique de l'humanité.
Mais rien ne se passe comme prévu : Malgré les efforts du père et des deux filles pour jouer l'enthousiasme et célébrer l'humanité, Ménir se révèle comme un être aberrant qui esquive sans cesse la question et semble vivre dans un autre monde.

Vient s'ajouter à cette ambiance quasi macabre Van Kraft, un membre d'une secte, récemment radié de cette dernière et qui propose à Balazur et sa famille de créer une nouvelle religion afin de retrouver un peu de foi avant le trépas. La situation vire très vite à la folie meurtrière.