Les personnages incarnent de grands enfants qui nous emmènent dans des pensées, des émotions, des jeux, des réflexions corrosives sur le monde et sur eux- mêmes.
Un humour ultra noir qui évoque les constructions des tableaux D'Escher.

On est bouleversé par des trajets et on arrive à bout de souffle à des points de vue surprenants, inattendus, souvent choquants. Pas de repos, on se jette à nouveau sur la piste, plongeant dans ces caves secrètes où on enfouit ses propres démons.
Consumérisme, un mélange d'observations sur la vie moderne, sur l'obligation de prétendre être quelqu'un d'autre que soi-même sans trouver vraiment une contrepartie libératrice.