Sous la peau est un voyage au coeur de nos intériorités, de nos pensées, de nos pulsions. Dans une société du "tout voir", où la mise en scène de soi est devenue norme sociale, où se situe encore notre complexité intérieure ? Est-il possible de la préserver, de la cultiver ? Et surtout comment, puisque même l'originalité finit par se standardiser?

Peut-être en faisant l'expérience de gratter sous le verni social, en regardant des acteurs enlever leurs couches successives de masques et redevenir les animaux qu'ils sont au fond eux aussi. Car, si nous la cachons si bien, c'est peut-être qu'au fond cette intériorité nous fait un peu peur...Et pour qu'une peur disparaisse, quelle autre solution que de la regarder en face ?